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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 13:17

(dépêches)

 

 


Aubry va-t-elle prendre le PS grâce aux voix de Delanoë?
Lundi 17 novembre 2008 - 22h36

LePost


Bertrand Delanoë a appelé ce lundi midi ses partisans à voter pour Martine Aubry lors du vote des militants socialistes, jeudi. Ils devront choisir entre Ségolène Royal, Martine Aubry et Benoît Hamon.

 

Martine Aubry favorite?

Théoriquement, de manière mathématique, un report strict des voix de la motion du maire de Paris vers celle de Martine Aubry donnerait à cette dernière une très large avance sur ses concurrents. Les motions Aubry (24,32 %) et Delanoë (25,24 %) totalisant près de 50 % des votes à elles deux, alors que celle de Ségolène Royal ne représente que 29,08 % des voix et Benoît Hamon (18,5 %).

Dimanche à Reims, un militant pro-Aubry déclarait d'ailleurs au Post: "Elle a de grandes chances de battre Ségolène Royal car elle peut rassembler 70 % des militants qui n'ont pas voté pour Royal."

Pas si simple...

Mais les voix des militants qui ont voté pour Bertrand Delanoë le 6 novembre ne devraient pas se porter exclusivement et de manière automatique sur Martine Aubry.

Le camp Delanoë divisé = voix dispersées?

Le courant de Bertrand Delanoë est divisé entre jospinistes (Harlem Désir, Jean Glavany...), hollandais (Jean-Marc Ayrault, Michel Sapin...) et autres...

Du coup...

1. Les hollandais vont-ils voter pour Royal?

"Les amis de François Hollande représentent près de la moitié du capital électoral" de Bertrand Delanoë, constate Le Monde, qui précise qu'ils sont "très hostiles à Mme Aubry". Une bonne partie d'entre eux pourraient donc voter pour Ségolène Royal.

2. Vers une série de ralliements de pro-Delanoë vers Royal?

Dimanche, à Reims, Jean-Louis Bianco, proche de Ségolène Royal, assurait au Post que "des voix et des personnes" allaient certainement se rallier à la présidente de la région Poitou-Charentes dans les prochains jours.

Interviewé par Le Post.fr dimanche à Reims, Manuel Valls, qui fait aussi partie des lieutenants de Ségolène Royal, ne doute pas non plus que des élus locaux ayant voté pour Bertrand Delanoë lors du vote des militants le 6 novembre, "voteront pour Ségolène Royal" jeudi. (A la fin de cette vidéo, il s'énerve un peu contre un autre journaliste, visiblement un peu insistant...)

(Source: Le Post.fr)

Le premier ralliement s'est opéré dès ce lundi midi: Armand Jung, député PS du Bas-Rhin, qui soutenait la motion de Bertrand Delanoë, a annoncé qu'il votera pour Ségolène Royal.

Il n'est donc pas du tout sûr que les voix de Bertrand Delanoë permettent la victoire de Martine Aubry. Le suspense demeure...

D'ailleurs, même le patron des sénateurs socialistes, Jean-Pierre Bel, soutien de Bertrand Delanoë, se montre prudent quant au résultat de l'élection de jeudi : "Je travaillerai demain avec le premier ou la première secrétaire, quel qu'il ou quelle qu'elle soit, et je suis fidèle à l'engagement pris hier devant les militants de ne pas donner de consigne de vote", a-t-il déclaré ce lundi après-midi, selon Le Monde.fr.

Seule certitude, comme le remarque Jean-Michel Normand, du Monde: "Sauf surprise qui verrait M. Hamon l'emporter, une femme va s'installer à la tête du PS"...




Vers un match Royal-Aubry pour trouver le chef d'un PS "sérieusement malade"

Dimanche 16 novembre 2008 - 21h33
Elahe MEREL et Michel SAILHAN

 
Incapables de convenir en congrès ce week-end d'une orientation et d'un leader, les ténors d'un PS "sérieusement malade" ont laissé aux militants le soin d'arbitrer par un vote un match qui opposera Ségolène Royal à Martine Aubry, avec Benoît Hamon en troisième postulant. Evénément.

 

A l'issue d'un congrès de Reims largement centré sur Ségolène Royal, Bertrand Delanoë a résumé dimanche le sentiment général, après trois jours de déchirements et un total désaccord: le Parti socialiste est "sérieusement malade".

"Nous n'ajouterons pas de la division à la division", a dit le maire de Paris, qui menait une des principales motions au congrès, mais ne brigue pas le poste de Premier secrétaire et ne donne pas de consigne pour le vote militant.

Son état-major a immédiatement ouvert le feu sur Martine Aubry qui venait d'annoncer son entrée en piste.

Les aubrystes "prennent la responsabilité historique de livrer le parti à Ségolène Royal, dont ils se comportent comme des alliés objectifs", a-t-on accusé dans l'entourage du maire. M. Delanoë, qui était en tête des sondages, est le grand perdant du congrès.

Le maire de Lille a affirmé vouloir un "parti ancré à gauche pour porter l'alternative au libéralisme", "au coeur de la gauche pour pouvoir gagner" et "fortement européen".

Benoît Hamon a sollicité "l'honneur d'être en première ligne" pour "faire naître une espérance" dans les couches populaires.

Aubry, Delanoë et Hamon ont tenté en vain à Reims de constituer un rassemblement face à l'ex-candidate à l'Elysée, dont ils rejettent la stratégie d'alliance possible avec François Bayrou.

Mais la présidente de la région Poitou-Charentes, dont la motion avait été placée en tête par les militants le 6 novembre (29%), face à Aubry (24,3), Delanoë (25,2) et Hamon (18,5%), les a pris de vitesse.

Elle part favorite pour le vote de jeudi, de l'aveu même de ses opposants.

Dès dimanche soir, elle publiait sa profession de foi, cosignée avec Vincent Peillon.

Elle avait provoqué la surprise en annonçant d'emblée sa candidature à la succession de François Hollande, qui, après onze ans, laisse un parti balkanisé.

Samedi, nouveau "coup": elle propose de consulter les militants directement sur les alliances" avec le centre. Cette ouverture au MoDem et son désir d'un parti de masse sont deux pommes de discorde avec ses rivaux qui s'en tiennent à un parti "de militants" et aux alliances historiques.

Entre applaudissements et sifflets, Mme Royal avait puisé samedi, dans son discours à la tribune, dans le registre moral, voire religieux, évoquant le pardon des offenses.

Dans la nuit de samedi à dimanche, elle a claqué la porte de la "Commission des résolutions" qui s'échinait sur une synthèse des motions.

"Tout le monde devra se ranger derrière celui qui sera désigné par le vote souverain des militants", a-t-elle prévenu plus tard, promettant de poursuivre "l'effort de rassemblement". Sa rivale Aubry a assuré de même que le PS "restera uni".

Raillant un congrès de "soustraction et division" (Alliot-Marie), l'UMP a posé la question d'une "disparition" ou "dissolution" du principal parti d'opposition.

François Bayrou, dont le MoDem a été au coeur des débats PS, a accusé ceux qui refusent tout contact avec lui de favoriser "dix ans" de Nicolas Sarkozy.

Le MRC Jean-Pierre Chevènement, grand soutien de Mme Royal pendant sa campagne présidentielle, a proposé la création "d'un grand parti de toute la gauche".

 

 


Duel serré pour la direction du Ps, le courant Aubry conteste les derniers chiffres

Vendredi 21 novembre 2008 - 08h34

Christophe Borgel, mandataire national de la motion Aubry pour le 75e congrès, a formellement contesté les nouveaux chiffres de la direction faisant état de 43,10% des voix pour Ségolène Royal, et 34,50% pour Martine Aubry lors du vote de l'élection du premier secrétaire du PS jeudi. Evénement.

 

Les résultats fournis précédemment, - métropole plus une partie de l'Outre-mer - donnaient Ségolène Royal à 42,45%, et Martine Aubry à 34,73%. Les nouveaux chiffres fournis à l'AFP par Stéphane Le Foll, directeur de cabinet de François Hollande, intégraient notamment les résultats de la Martinique, mais pas ceux de la Guadeloupe.

Les militants socialistes retournent aux urnes ce vendredi pour départager Ségolène Royal et Martine Aubry, ces dirigeantes qui briguent toutes deux la direction du PS, dans un duel qui s'annonce serré. Dans tous les cas de figure, le prochain Premier secrétaire socialiste sera une femme, une énarque, une ancienne ministre: ce sont les points communs entre l'ex-candidate à la présidentielle et la maire de Lille. Pour le reste, beaucoup les oppose: le style, la conception du parti et des alliances qu'il doit nouer.

Au premier tour du vote des adhérents jeudi, Ségolène Royal a montré son implantation, en recueillant 43,10% des voix. Elle a ainsi amélioré de 14 points son score du 6 novembre, jour d'un premier vote militant pour départager 6 motions en lice pour le Congrès de Reims.

La présidente de Poitou-Charentes a clairement devancé sa rivale maire de Lille, créditée de 34,50%. Mme Aubry avait pourtant reçu le soutien du maire de Paris Bertrand Delanoë dont la motion avait pesé 25% le 6 novembre.

Mais pour le second tour décisif, organisé de 17 à 22H dans les quelque 3.200 sections socialistes, l'ex-numéro deux du gouvernement Jospin bénéficie du ralliement de Benoît Hamon, arrivé en troisième position avec 22,83% des voix. Le jeune eurodéputé a ainsi progressé de 4 points par rapport au score initial de sa motion.

L'arithmétique est donc favorable à Mme Aubry, 58 ans. Ses soutiens se disaient d'ailleurs dans la nuit "optimistes", à l'image de l'ancienne garde des Sceaux Marylise Lebranchu.

Mais la dynamique est du côté de Mme Royal (55 ans), assurent ses partisans. Vincent Peillon, à qui est promis le poste de 1er secrétaire délégué en cas de victoire de sa championne, voit une "chance inespérée d'opérer la transformation" du PS.

Mme Aubry prône un parti de militants, fidèle à ses alliances à gauche, Mme Royal plaide pour un parti de masse, ouvert à un rapprochement avec le centre.

La tâche de la prochaine patronne du PS sera ardue pour panser les plaies de Reims, rendre le parti audible face à Nicolas Sarkozy. Avec en ligne de mire l'élection présidentielle de 2012.


Martine Aubry, l'experte en questions sociales devenue élue de terrain

Vendredi 21 novembre 2008 - 08h44
Bertrand BOLLENBACH

 
La maire de Lille Martine Aubry, qui affronte Ségolène Royal vendredi pour la direction du PS, experte en questions sociales devenue une infatigable élue de terrain, a reconquis peu à peu un rôle central au sein du PS, dont elle ambitionne aujourd'hui de prendre la tête.

 

Son triomphe aux dernières municipales (66,5%) et sa brillante élection à la communauté urbaine ont redonné à cette européenne convaincue de 58 ans un souffle qui lui a permis de se lancer avec fougue dans les âpres luttes internes du PS: alors que sa motion d'avant-congrès avait obtenu 24,3% des voix, elle a obtenu 34,7% lors du premier tour.

Après l'avoir défendu dans son livre "Et si on se retrouvait", elle a pour credo, martelé à travers la France: son parti doit "retrouver les valeurs de gauche".

"Il faut retrouver le chemin des manifestations et du mouvement social", a-t-elle ainsi lancé au congrès de Reims, assurant vouloir "défendre les alliances avec les seuls partis de gauche". Une pierre dans le jardin de Ségolène Royal, dont elle souligne que la campagne présidentielle "à l'évidence, n'a pas convaincu les Français", et contre laquelle elle fait preuve de pugnacité, l'accusant de ne pas avoir la même "conception du parti".

La maire de Lille a ainsi abandonné la réserve qu'elle s'était longtemps imposée pour mieux labourer son terrain nordiste, où elle avait d'abord dû essuyer quelques rebuffades. Appelée à Lille en 1995 par le maire et ex-Premier ministre Pierre Mauroy en vue de lui succéder en 2001, alors qu'elle était au faîte de sa popularité au ministère des Affaires sociales, elle n'avait réussi cette mission que difficilement (49,6% des voix au second tour au bénéfice d'une triangulaire).

Avant sa résurgence en 2008, Martine Aubry a connu des déboires avec la fédération nordiste du PS : pour les législatives 2002, elle n'avait pu être investie à Lille même et avait été battue par Sébastien Huyghe contre lequel elle a pris sa revanche aux dernières municipales.

En 2007, elle ne s'était pas portée candidate, faute d'obtenir la circonscription qu'elle convoitait. Elle payait ainsi probablement l'apparition de tensions - depuis largement aplanies - avec Pierre Mauroy.

Ceci ne l'a pas empêchée d'imposer à la tête de Lille son style volontaire. Poursuivant l'expansion économique impulsée par son prédécesseur, elle a apporté une vision nouvelle en misant beaucoup sur le rayonnement culturel. Le renouvellement urbain des quartiers populaires avec le souci du maintien des habitants, illustre aussi une politique que Martine Aubry veut "solidaire".

Son itinéraire au PS et au gouvernement - avec comme point d'orgue les trois années 1997-2000 à la tête d'un super-ministère social sous Lionel Jospin, après une première expérience en 1991-93 - lui a permis de cultiver cette fibre sociale.

Alors qu'elle apparaissait au début de sa carrière comme une énarque proche des milieux patronaux (numéro deux de Pechiney en 1989-91), la fille de Jacques Delors a ensuite été perçue comme la "mère des 35 heures", réforme mise en place en 1998 de façon conflictuelle avec la droite.

La maire de Lille revendique toujours cette mesure, qui lui avait valu le pamphlet de Philippe Alexandre "La dame des 35 heures", qui l'avait à l'époque très affectée. Cette sensibilité est masquée par un caractère direct qui suscite des jugements contrastés: "impatiente, autoritaire et cassante" pour les uns, "simple, généreuse, ouverte" pour les autres, qui louent son "contact facile".

 

Ségolène Royal, l'audace à toute épreuve

Vendredi 21 novembre 2008 - 08h33
Thierry MASURE

 

La présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, 55 ans, qui affrontera Martine Aubry au second tour pour succéder à François Hollande à la tête du PS, est une personnalité politique hors normes, dont on souligne volontiers l'audace et la volonté de fer.

 

L'ex-candidate à la présidentielle a bousculé le Congrès de Reims, qui s'est tenu dans la division et les déchirements, en annonçant dès le début des travaux sa candidature au poste de Premier secrétaire.

Prenant ses rivaux de vitesse, elle en a profité pour faire savoir que si elle était élue jeudi prochain par les militants, elle nommerait Vincent Peillon "Premier secrétaire délégué". Ce qui permettrait à la "dame blanche" de prendre de la hauteur, dans la perspective d'une candidature à l'Elysée en 2012. Ce qui fait la force de cette Lorraine élevée à la dure, c'est d'abord de croire en elle-même. Et en son destin national, malgré les ricanements et les haussements d'épaules. "Je ne crains rien, je trace ma route", répète-t-elle.

Ségolène Royal ne prend de précautions ni avec la droite, qui s'étrangle régulièrement devant ses emportements contre "le pouvoir en place", ni avec son parti, snobant parfois ses réunions, préférant délivrer son message aux journalistes.

Le PS qu'elle veut aujourd'hui dompter, elle l'a souvent bousculé et éreinté: une machine "lourdingue", dira-t-elle après la campagne présidentielle. Elle "n'a pas le sens du travail collectif", entend-on rue de Solférino comme un refrain, elle "fait les extérieurs", passant outre les prises de position du parti, elle qui réclame pourtant "de la discipline".

Elle joue les militants contre l'appareil, tout en s'assurant du soutien de fédérations symboles du "vieux parti" comme les Bouches-du-Rhône et l'Hérault. De l'opinion, cette femme belle, élégante et souriante veut faire le vecteur de ses conquêtes, au risque d'être accusée de populisme. En ces temps de disette du pouvoir d'achat, elle cloue au pilori banques et compagnies pétrolières qui "s'enrichissent avec l'argent des petits", et défile avec les salariés de la CAMIF montés de Niort à Paris.

De ses "17 millions de voix" amassées au second tour de la présidentielle, Ségolène Royal a fait un capital politique durable. C'est la personnalité la plus populaire dans l'électorat de gauche. Fille d'officier issue d'une famille de huit enfants, elle a une longue carrière politique: députée des Deux-Sèvres de 1988 à 2007, trois fois ministre.

Cette énarque rompt avec la "novlangue" socialiste en prêchant qu'il faut "s'aimer les uns les autres", fait de chaque citoyen "un expert", anime des réunions "participatives".

Sa campagne l'a fait mûrir: plus solide dans ses interventions médiatiques, elle connaît mieux les dossiers. Presque seule lorsqu'elle s'impose comme candidate socialiste à l'Elysée, elle a depuis tissé sa toile et s'est entourée d'une équipe de jeunes responsables politiques.

Avec un sens tactique consommé, Mme Royal surjoue de son statut de victime des caciques socialistes, affirmant la main sur le coeur qu'elle "ne fait jamais d'attaques personnelles". Ce qui n'empêche pas des mots cruels pour son ex-compagnon, François Hollande. Ni de présenter ses rivaux comme des figures du passé et du "vieux parti", elle qui est dans le sérail depuis plus de 20 ans.

Elle n'a pas son pareil pour prendre à contre-pied, surgir quand on ne l'attend pas. En difficulté, elle s'attire de la reconnaissance en mettant "au Frigidaire" sa candidature à la direction du parti, se

 

Hamon appelle à voter "massivement" pour Aubry

Vendredi 21 novembre 2008 - 07h50

Benoît Hamon, arrivé troisième lors du premier tour de l'élection du premier secrétaire du PS, a appelé dans la nuit de jeudi les militants socialistes ayant voté pour lui à voter "massivement" vendredi pour Martine Aubry, qualifiée pour le second tour face à Ségolène Royal.

 

"Aujourd'hui, j'ai fait le choix en toute transparence et en responsabilité de demander aux 30.000 militants socialistes dont je ne suis pas propriétaire" des voix "mais qui m'ont fait confiance de se reporter massivement vers le vote en faveur de Martine Aubry", a-t-il déclaré peu avant 02H00 à son arrivée au siège du PS, rue de Solférino, à Paris.

Bertrand Delanoë avait lui aussi appelé lundi à voter "massivement" pour Mme Aubry.

"Mon choix est dicté par ce que je crois être l'intérêt de la gauche" en pensant à "celles et ceux qui attendent de la gauche une alternative à la droite", a souligné M. Hamon.

Il a recueilli 22,8% des voix en métropole soit 30.880 suffrages, derrière Ségolène Royal (42,45%) et Martine Aubry (34,73%).

"Nous sommes confrontés à un choix de culture". M. Hamon a décidé d'appeler à voter pour la maire de Lille afin que "nous ayons un parti ancré à gauche mais qui fasse aussi le choix du renouvellement".

"Ce parti est en train de commencer à se renouveler", "ce qui a été clairement marqué à nouveau par ce scrutin, c'est à la fois la volonté d'ancrage à gauche du PS et une volonté très claire de renouvellement", a encore affirmé le député européen.

"C'est un parti à construire et reconstruire", il est "temps de jeter des ponts entre le PS et l'extérieur, avec le reste de la gauche et entre socialistes".

 

 

 

 

 

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