« Je veux dire à ceux qui ont vingt ans que je me bats pour eux et que j’ai besoin d’eux. Je me bats pour vous parce que je ne veux pas que vous commenciez votre vie dans un pays à la traîne. Parce que je ne veux pas que vous soyez aux yeux du monde les enfants du pays qui n’a "pas de bol". Vous êtes la première génération d’un nouveau siècle et vous méritez mieux que ça. » (Porte de Versailles de Paris, le 9 avril 2017).
Le rythme de la campagne de François Fillon s’accélère. Il multiplie ainsi les meetings pour le sprint final. Après son grand rassemblement à la Porte de Versailles à Paris ce dimanche 9 avril 2017 (plus de 20 000 participants), le Parc Chanot à Marseille le 11 avril 2017, Eurexpo à Lyon le 12 avril 2017, le Zénith à Toulouse le 13 avril 2017, le Parc des Expositions à Montpellier le 14 avril 2017. Il faut dire que la campagne va "subir" un trou d’air, le week-end de Pâques de trois jours juste avant le dimanche électoral. Avec les vacances scolaires, cela risque de réduire la portée de la campagne électorale.
À moins de deux semaines du premier tour, les sondages parlent d’un resserrement des intentions de vote pour les quatre principaux candidats : Marine Le Pen, Emmanuel Macron, François Fillon et Jean-Luc Mélenchon. La vérité, c’est qu’avec les intervalles d’erreur des méthodes de calcul, l’incertitude est totale sur l’identité des deux premiers candidats. Ces mêmes sondages laissent entendre qu’il y aurait deux tiers des électeurs qui resteraient indécis ou pas sûrs de leur vote, ce qui signifie que tout est possible. Dans les temps anciens d’avant Internet, les sondages étaient interdits pendant la campagne officielle, c’est-à-dire pendant les deux dernières semaines de la campagne. C’était particulièrement dérisoire puisque les instituts continuaient néanmoins à sonder et seules, "quelques" personnes bien informées en avaient connaissance, ce qui pouvait d’ailleurs engendrer des rumeurs plus ou moins manipulatrices.
Quatre personnalités, quatre visions de l’avenir, quatre projets de société. Et aussi quatre expériences, ou inexpériences. En ces temps troubles, où les attentats sur le sol européen côtoient les risques d’un conflit direct entre deux puissances militaires (la Russie et les États-Unis) sur le sol syrien, il paraît évident que les Français auront d’abord à se prononcer selon la raison et pas selon le rêve.
Le rêve, c’est de croire que l’État peut tout donner sans rien en échange. C’est un rêve particulièrement propre aux démagogues qui veulent raser gratis. Tous ceux qui promettent des milliards et des milliards sans s’occuper un instant de la manière de les financer sont des candidats qui trompent leurs électeurs : moins les mesures sont finançables, moins elles sont réalisables et plus le candidat propose l’impuissance et l’immobilisme dans les faits.
Le rêve, c’est aussi de considérer que les problèmes des Français proviennent d’éléments extérieurs (l’Europe, la mondialisation, la Chine, les immigrés, etc.). Cette analyse aboutit à une conclusion inéluctable : la France serait impuissante à résoudre ses problèmes puisqu’elle ne pourrait ni empêcher la mondialisation, ni changer la politique commerciale de la Chine, ni éviter les migrations depuis des zones trop difficiles à vivre. Resterait l’Europe avec son cortège de mauvaises solutions : quitter l’Europe pour se retrouver isolés, les 67 millions de Français, face aux 7 milliards d’habitants qui peuplent la planète.
Emmanuel Macron n’est pas un candidat du rêve, sauf celui du rêve européen, mais il est le candidat de la "synthèse plastique" selon François Fillon qui a observé, à Clermont-Ferrand le 7 avril 2017 : « [Avec lui], pas de choc économique pour booster la croissance ; pas de vraie réforme du marché du travail pour baisser le chômage ; pas de vrais efforts pour réduire les déficits et la dette ; pas d’autorité affirmée pour faire reculer la délinquance ; pas d’urgence à protéger l’identité de la France… Bref, le projet de M. Macron est la poursuite du quinquennat qui s’achève. ».
Une semaine auparavant, à Ajaccio le 1er avril 2017, François Fillon avait été même beaucoup plus dur : « Emmanuel Hollande ou François Macron, peu importe. Nos compatriotes se moquent de ce bal masqué politique. Ils savent bien que sous un pavillon de complaisance différent, c’est bien la même marchandise frelatée qui se trouve dans les cales (…). Ne vous laissez pas imposer un scénario écrit d’avance par les plumitifs du pouvoir socialiste qui vous disent : "Après le monarque, c’est le tour du petit prince". ».
François Fillon, seul en mesure de tourner la page de manière constructive
Conscient de ses propres défauts, François Fillon n'a pas hésité à rappeler le 9 avrl 2017 à Paris ceci : « Je ne vous demande pas de m’aimer. Je vous demande de me soutenir, parce qu’il y va de l’intérêt de la France. Il ne s’agit pas de choisir un copain. Il s’agit de choisir un Président, et à travers lui, le destin que nous voulons nous ouvrir à la France. Dans la vie de notre pays, je veux redonner tout son sens à l’idée de responsabilité, sans laquelle rien ne sera possible. ».
On peut en effet ne pas aimer l’homme, on peut être déçu voire en colère contre son rapport à l’argent, et même si ce qu’il a fait est probablement légal et assez commun pour un parlementaire (la justice ne peut pas se prononcer sur le fond avant l’élection, mais n’a pourtant pas hésité à le mettre en examen deux jours avant la fin du dépôt des candidatures), il reste que François Fillon, dans la tradition du gaullisme dit social (l’expression "gaullisme social" est impropre et à prendre dans son sens habituel), est le seul candidat capable à la fois de proposer une alternance crédible et réelle, aidée d’une véritable majorité parlementaire d’alternance et d’une équipe de personnalités expérimentées tout de suite opérationnelles, et de redresser la France sur une base réaliste et donc réalisable.
Proposer une alternance réelle, pas comme Emmanuel Macron qui est soutenu essentiellement par les ministres ou anciens ministres du quinquennat actuel de François Hollande, au bilan désastreux pour la grandeur de la France.
Proposer un redressement réaliste et mesurable, pas comme Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon dont la surenchère en milliards non financés est proportionnelle au niveau d’impuissance qui en résulterait.
C’est pourquoi, à mon sens, quelle que soit l’amertume que l’on peut avoir sur la personnalité, et je conçois qu’elle peut être grande pour certains, soucieux de l’éthique et de la moralisation de la vie politique, l’avenir de la France doit être le moteur exclusif des motivations de vote. Seul François Fillon peut proposer un avenir raisonnable et enthousiaste aux Français. Enthousiaste car il a su construire un projet ambitieux dont le but est de se retrouver la première puissance économique européenne dans dix ans. L’objectif, clairement affiché, c’est de ne plus avoir de chômage. C’est possible, l’Allemagne l’a fait il y a douze ans, et le résultat, c’est son taux de chômage à 3,9% en février 2017 (la France : 10,0%).
Pour arriver à ce résultat, François Fillon mise sur trois engagements majeurs :
1. Supprimer le déficit budgétaire et réduire la dette publique
La dette publique est le principal accroc à la souveraineté nationale (il suffit de voir ce qu’elle coûte à l’État), mais aussi qui laisse planer un énorme risque de crise financière majeure dans le cas où les taux augmenteraient. Cette réduction de la dépense publique donnera une plus grande marge de manœuvre aux entreprises pour augmenter leur compétitivité.
Pour cela, François Fillon donne cette feuille de route très claire : « Je suis le seul à proposer un plan réaliste et financé. M. Mélenchon, c’est 173 milliards de dépenses en plus ; Mme Le Pen, 150 milliards ; M. Hamon, 71 milliards ; M. Macron, c’est 60 milliards d’économies, mais 50 milliards de dépenses nouvelles. Moi, je propose 100 milliards de baisse de dépense publique, chiffre nécessaire pour atteindre l’équilibre des comptes au bout de cinq ans : 35 à 40 milliards pour l’administration publique de l’État ; les collectivités locales pour 15-20 milliards ; le secteur social avec la retraite à 65 ans (20 à 25 milliards), les dépenses de sécurité sociale (20 milliards), le retour à l’équilibre de l’Unedic (10 milliards). Cet effort résolu sur les dépenses de fonctionnement nous permettra de préserver l’investissement public et d’augmenter de 12 milliards les dépenses consacrées à la défense, la sécurité et la justice. Il nous permettra également de réduire de 40 milliards les impôts et les charges sur les entreprises pour rétablir leur compétitivité et augmenter les petites retraites. Grâce à l’augmentation modérée de la TVA, les importations participeront au financement de notre protection sociale permettant ainsi de réduire les cotisations sociales des salariés et donc, de préserver leur pouvoir d’achat. » (interview à "Ouest France", le 27 mars 2017).
2. Redonner foi en la France
En ne restant que sur une vision comptable de la France, les gouvernements depuis une vingtaine d’années ont trop laissé de côté une véritable perte de sens et d’identité de beaucoup de Français. Or, la réponse ne doit pas être un repli sur soi identitaire ni un protectionnisme qui ne punirait que les Français eux-mêmes. Il faut au contraire réaffirmer la foi en la capacité de la France à profiter de la mondialisation, à être à niveau pour concourir parmi les premières puissances mondiales (même si depuis cinq ans, elle a régressé de la cinquième à la sixième puissance mondiale). La France a de multiples atouts et l’État doit être là pour les encourager, les valoriser, les mettre en avant, les promouvoir.
C'était son message à Strasbourg : « Soyez fiers d’être français. Soyez fiers de votre culture. Soyez fiers de votre histoire. Soyez fiers d’aller vers l’avenir pour le conquérir, car rien n’est plus noble qu’un peuple qui se dresse pour tenir son destin. Oui, soyez fiers de votre drapeau tricolore et mêlez ses trois couleurs aux étoiles de l’Europe ! Faites, de votre fierté, l’étincelle de toutes les fiertés qui vous entourent ! » (6 avril 2017).
Redonner foi en la France, cela signifie aussi lutter efficacement contre l'islamisme de la terreur.
3. Relancer l’Europe
Avec le Brexit, la crise des réfugiés et la crise grecque qui couve encore plus ou moins, personne ne peut dire que l’Union Européenne est dans une phase d’ascension enthousiaste. Au contraire, depuis près de dix ans, l’Europe traverse une mauvaise passe et il y a une véritable absence de vision et de projet d’avenir et des risques "séparatistes" dans de nombreux pays (comme la Pologne, la Hongrie, etc.).
Deux candidats veulent poursuivre la construction européenne, François Fillon et Emmanuel Macron. Mais François Fillon n’est pas un Européen d’incantation, il est un Européen de réalisme. Il avait voté contre le Traité de Maastricht le 20 septembre 1992 mais il s’est aperçu que l’euro est devenu une monnaie très favorable à la France et aux Français (notamment parce que l’euro permet des taux très bas). Il est un pragmatique et veut l’Europe parce qu’il sait que l’intérêt de la France ne peut passer que par une Europe mutualisée qui fasse le poids face aux grands ensembles géopolitiques du monde.
À Strasbourg le 6 avril 2017, François Fillon a montré sa différence avec ses concurrents : « La priorité, c’est de remettre en route le moteur franco-allemand, en panne depuis cinq ans. La vérité, c’est que je suis le seul candidat de cette campagne à proposer de redémarrer l’Europe de façon réaliste. Il y a ceux pour qui l’Europe est la source de tous nos maux, le bouc émissaire idéal de nos impuissances et de nos échecs. Marine Le Pen, Mélenchon et bien d’autres rêvent d’en finir avec soixante années de coopération, mais pour quoi ? Pour revenir au chacun pour soi, face aux sept milliards d’habitants que compte notre monde ? Que proposent-ils au juste ? Le retour insensé au franc, les 32 heures, les déficits à n’en plus finir ? Prendre le bateau lorsque nos créanciers débarqueront pour réclamer leur dû ? La fin de l’Europe, c’est plus qu’une infidélité au projet de Jean Monnet et de Robert Schuman. C’est le saut dans le vide. C’est la tentation du pire. Ce n’est pas mon choix. ».
Mais François Fillon n’a pas fustigé seulement les anti-européens : « Je ne suis pas non plus de ceux qui se proclament pro-européens, mais ne veulent rien changer. M. Macron propose de continuer à rêver l’Europe. Il invite les Vingt-sept à rêver ensemble. Il les appelle à une grande "convention démocratique pour de nouvelles bases". Il espère qu’un jour, un projet sortira de cette grande méditation contemplative. Cela, je vous le dis : c’est l’attitude qui a conduit l’Europe dans le mur ! Cinq années d’immobilisme en plus, c’est condamner l’Europe de manière inéluctable. ».
Après avoir brossé le visage de ses adversaires, voici ce à quoi il s’est engagé : « Le monde attend un sursaut européen et c’est à la France de le porter. Je suis heureux d’assumer ce message ici, dans la capitale de l’Europe. (…) Nous devons stopper l’éclatement de l’Europe au plus vite. Je m’engage à être ce chef d’État déterminé dont l’Europe a besoin en France. Je m’engage à reprendre l’initiative qui incombe à la France et l’Allemagne depuis le Brexit. C’est un anniversaire un peu tendu pour le Traité de Rome. Pour ses soixante ans, l’Europe est face à un choix : réagir ou disparaître. ».
Sa priorité : « faire de la zone euro une véritable puissance économique mondiale, capable d’assurer sa souveraineté économique et sa prospérité » en dotant « la zone euro d’un vrai gouvernement économique qui réunira les chefs d’État et de gouvernement ». Avec cette profession de foi : « Je suis pour une Europe lucide sur ses intérêts économiques, qui ose pratiquer une préférence européenne pour défendre ses intérêts face à la Chine et aux États-Unis. (…) Il n’est pas acceptable que l’Europe ouvre ses marchés publics à 95% aux entreprises étrangères et que ce n’est le cas que de 30% aux États-Unis. ».
Autre profession de foi sur les valeurs européennes : « L’Europe, c’est (…) : un modèle d’économie de marché plus respectueux de la protection sociale des travailleurs et de l’environnement. (…) Nous sommes pour la liberté, mais dans un cadre qui serve le bien commun. ».
L’autre défi, c’est de bâtir une "nouvelle union de la sécurité" : « Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, l’ami américain est en train de replier son parapluie. Sommes-nous oui ou non des Européens prêts à nous défendre, ou sommes-nous simplement des vassaux, des consommateurs, des pacifistes naïfs incapables de protéger la paix ? (…) Les Européens doivent assurer leur autonomie stratégique, ce qui veut dire qu’il va falloir maintenir sur notre continent une industrie militaire de pointe, plutôt que d’acheter systématiquement américain ou russe. ».
D’abord redresser la France
La clef de la politique européenne de la France, François Fillon ne cesse de la réaffirmer durant sa campagne : « La nouvelle alliance militaire de défense qui permettra à l’Europe de rependre son destin en main, c’est à la France et à l’Allemagne de la construire. (…) Tout cela ne sera vraiment possible que si la France est forte chez elle. Pas de redressement européen sans redressement français ! Pas d’influence française sans une France puissante. ».
C’est cette raison qui a fait que François Hollande n’a jamais réussi à relancer l’Europe avec Angela Merkel, car l’Allemagne n’avait aucune considération sur les engagements du gouvernement socialiste représenté dans l’élection par les deux anciens ministres Emmanuel Macron et Benoît Hamon.
Faut-il parler du bonheur ? François Fillon y a répondu le 9 avril 2017 : « Je ne suis pas un idéologue. Je suis seulement un patriote. Je regarde l’avenir et, comme vous, je voudrais une France plus grande qu’elle ne l’est, une France unie, heureuse, confiante. Sincèrement, pouvons-nous atteindre cet idéal sans efforts et sans nous remettre en question ? Dans cette campagne présidentielle, je suis finalement le seul à dire que le bonheur est une conquête et pas un cadeau de l’Histoire. Le seul à vous dire qu’on ne s’en sortira pas sans travailler un peu plus et dépenser un peu moins. ».
François Fillon montre qu’il est d’abord le candidat du concret et de la seule priorité qui vaille : que chacun puisse avoir un emploi, que la France retrouve sa prospérité économique et elle retrouvera sa place et son rôle dans l’histoire de l’Europe et du monde. Dommage qu’il soit le seul candidat à le proposer, et c’est aussi pour cette raison que l’enjeu du 23 avril 2017 est historique : les Français veulent-ils vivre dans une France de la grandeur, ou renonceront-ils à être une nation de premier plan ?
Aussi sur le blog.
Sylvain Rakotoarison (10 avril 2017)
http://www.rakotoarison.eu
Pour aller plus loin :
François Fillon, le seul candidat de l’alternance et du redressement.
Programme 2017 de François Fillon (à télécharger).
François Fillon et les fonctionnaires.
Propositions pour une meilleure santé.
L’autorité et la liberté.
Défendre la Ve République.
Qui sera nommé à Matignon en mai 2017 ?
Fillon ou Macron pour redresser l’économie française ?
Interview de François Fillon dans le journal "Le Figaron" le 20 avril 2017 (texte intégral).
Interview de François Fillon dans le journal "Le Parisien" le 19 avril 2017 (texte intégral).
Discours de François Fillon le 15 avril 2017 au Puy-en-Velay (texte intégral).
Discours de François Fillon le 14 avril 2017 à Montpellier (texte intégral).
Discours de François Fillon le 13 avril 2017 à Toulouse (texte intégral).
Tribune de François Fillon le 13 avril 2017 dans "Les Échos" (texte intégral).
Discours de François Fillon le 12 avril 2017 à Lyon (texte intégral).
Discours de François Fillon le 11 avril 2017 à Marseille (texte intégral).
Discours de François Fillon le 9 avril 2017 à la Porte de Versailles de Paris (texte intégral).
Deuxième débat télévisé du premier tour de l’élection présidentielle (4 avril 2017).
Premier débat télévisé du premier tour de l’élection présidentielle (20 mars 2017).
3 635 parrainages pour François Fillon.
Soutien de Nicolas Sarkozy (7 avril 2017).
Soutien d’Alain Pompidou (31 mars 2017).
La déclaration de patrimoine des candidats (à télécharger).
Liste des parrainages des candidats à l’élection présidentielle au 18 mars 2017.
Discours de François Fillon le 7 avril 2017 à Clermont-Ferrand (texte intégral).
Discours de François Fillon le 6 avril 2017 à Strasbourg (texte intégral).
Discours de François Fillon le 31 mars 2017 à Toulon, au Mont Faron (texte intégral).
Discours de François Fillon le 30 mars 2017 à Quimper (texte intégral).
Discours de François Fillon le 27 mars 2017 à Nantes (texte intégral).
Discours de François Fillon le 21 mars 2017 à Courbevoie (texte intégral).
Discours de François Fillon le 16 mars 2017 à Caen (texte intégral).
Discours de François Fillon le 13 mars 2017 à Paris (texte intégral).
Discours de François Fillon le 9 mars 2017 à Besançon (texte intégral).
Discours de François Fillon le 8 mars 2017 à l’Association des départements de France (texte intégral).
Discours de François Fillon le 7 mars 2017 à Orléans (texte intégral).
Discours de François Fillon le 6 mars 2017 aux entrepreneurs (texte intégral).
François Fillon l’obstiné.
Discours de François Fillon le 5 mars 2017 au Trocadéro (texte intégral).
Discours de François Fillon le 2 mars 2017 à Nîmes (texte intégral).
Le grand remplacement.
Campagne en état d’urgence.
Assassinat politique ?
Liste des collaborateurs parlementaires des députés français (à télécharger).
Conférence de presse de François Fillon le 1er mars 2017 (texte intégral).
Discours de François Fillon sur la santé le 21 février 2017 à Paris (texte intégral).
Communiqué de François Fillon le 26 février 2017 inquiet des violences électorales (texte intégral).
Discours de François Fillon le 24 février 2017 à Maisons-Alfort (texte intégral).
Tribune de l’avocat Arno Klarsfeld le 20 février 2017 dans "L’Express" (texte intégral).
Discours de François Fillon le 15 février 2017 à Compiègne (texte intégral).
Discours de François Fillon le 12 février 2017 à Saint-Pierre de La Réunion (texte intégral).
Discours de François Fillon le 9 février 2017 à Potiers (texte intégral).
Comptes à débours.
Même pas mal ?
Lettre aux Français de François Fillon le 8 février 2017 (texte intégral).
François Fillon se met à nu : transparence des données financières (à télécharger).
Conférence de presse de François Fillon le 6 février 2017 (texte intégral).
PenelopeGate : la valse des François.
Discours de François Fillon à la Villette le 29 janvier 2017 (texte intégral).
François Fillon combatif.
Boule puante.
François Fillon, gaulliste et chrétien.
Qu'est-ce que le fillonisme ?
Second tour de la primaire LR du 27 novembre 2016.
Quatrième débat de la primaire LR 2016 (24 novembre 2016).
Premier tour de la primaire LR du 20 novembre 2016.
Troisième débat de la primaire LR 2016 (17 novembre 2016).
Deuxième débat de la primaire LR 2016 (3 novembre 2016).
Premier débat de la primaire LR 2016 (13 octobre 2016).
Discours de François Fillon à Sablé le 28 août 2016 (texte intégral).
Discours de François Fillon à Paris le 18 novembre 2016 (texte intégral).
François Fillon, pourquoi est-il (encore) candidat en 2016 ?
Débat avec Manuel Valls.
Force républicaine.
Discours du 30 mai 2015 à la Villette.
Philippe Séguin.
http://rakotoarison.over-blog.com/article-sr-20170409-fillon.html
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/francois-fillon-le-seul-candidat-191644
http://rakotoarison.canalblog.com/archives/2017/04/10/35112772.html
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