« On voit souvent la politique comme un milieu de profiteurs, mais c’est aussi un milieu sacrificiel à bien des égards, car il y a une grande porosité entre la vie publique et la vie privée, il est très difficile de garder un équilibre. » ("Valeurs actuelles", le 17 mai 2017).
Voici une absente qui multiplie ses présences. Marion Maréchal-Le Pen avait annoncé le 9 mai 2017, après l’échec électoral de sa tante Marine Le Pen, son retrait de la vie politique. À la surprise générale, elle n’a pas brigué le renouvellement de son mandat parlementaire qui a fini le 20 juin 2017 et elle a démissionné de son mandat de conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) le 7 juillet 2017.
Selon Geoffroy Lejeune, le très jeune (29 ans) directeur de la rédaction de l’hebdomadaire "Valeurs actuelles", qui a publié dans son magazine une tribune de Marion Maréchal-Le Pen le 22 février 2018, ce retrait est réel et elle n’aurait aucune intention de revenir rapidement dans le jeu politique, ni aux élections européennes de 2019, ni à l’élection présidentielle de 2022. Comme son grand-père Jean-Marie Le Pen, qui a sorti le 1er mars 2018 le premier tome de ses mémoires (grand succès commercial), elle ne se rendra pas au congrès du Front national à Lille les 10 et 11 mars 2018.
Pourtant, Marion Maréchal-Le Pen est toujours active. En effet, le jeudi 22 février 2018, elle s’est exprimée à Washington pendant dix minutes dans un anglais remarqué devant un public américain très conservateur, au cours de la Conservative Political Action Conference. Parmi les orateurs, elle a succédé au Vice-Président des États-Unis Mike Pence et le Président Donald Trump s’est exprimé dans la même enceinte le lendemain. Cette intervention a d’autant plus surpris que Marine Le Pen n’avait même pas réussi à rencontrer Donald Trump le 12 janvier 2017 lors de son voyage à New York.
Son message : il faut intensifier le combat culturel pour l’identité des peuples. C’est ce combat culturel qu’elle a semblé lancer en présentant à Paris le 1er mars 2018 aux membres d’une association d’entrepreneurs, proche du Front national, son projet d’académie des droites, en présence de Nicolas Bay (vice-président du FN).
On peut retrouver ses motivations dans sa tribune publiée dans "Valeurs actuelles" du 22 février 2018 : « Je suis convaincue que notre famille de pensée doit investir davantage le champ de la métapolitique. (...) Nous devons davantage œuvrer en parallèle sans négliger aucune strate de la société. Il n’y a pas de petite résistance ! Il est temps de s’atteler à des œuvres moins visibles peut-être, plus humbles à certains égards, mais non pas moins efficaces et concrètes. ».
Son projet est donc le suivant : « J’ai décidé de m’associer à la création d’une académie de sciences politiques à côté d’autres activités professionnelles. (...) Nous souhaitons être le terreau dans lequel tous les courants de la droite pourront se retrouver et s’épanouir. Notre peuple a droit à la continuité historique, tous ceux qui croient aux vertus du cadre national, à la libre-entreprise, y trouveront leur place. ».
L'idée est de "lever une armée", en quelques sortes : « Nous donnerons des armes intellectuelles, culturelles, juridiques, techniques et médiatiques à nos jeunes afin qu’ils soient les plus performants possible dans l’entreprise comme dans l’arène politique. Nous ne formerons pas uniquement des experts mais aussi des chefs entrainés à la direction des hommes, à la prise de décision et à la gestion du risque. (...) Le contenu pédagogique se déclinera autour de trois axes : le management général, le management de projet et les sciences politiques. Notre objectif est, qu’à l’issue de leur formation, nos étudiants soient en mesure d’analyser, d’agir et d’influencer dans la société à travers la politique ou l’entreprise. » (22 février 2018).
Marion Maréchal-Le Pen est un ovni de la vie politique. Elle est sans doute une "divine surprise" pour bien des sympathisants de l’extrême droite. Avec elle, les idées populistes pourraient s’incarner toujours dans la famille Le Pen pour encore une bonne cinquantaine d’années. Elle n’est pas qu’une "divine surprise" pour ce secteur électoral, elle l’est en fait pour l’ensemble du paysage politique car elle prouve qu’on peut être jeune, femme, et "fille de" ou plutôt, "petite-fille de" et se faire un prénom, travailler, et avoir sa propre existence politique, au risque même d’empiéter sur celle de sa tante et de son grand-père. Elle est à la fois héritière et conquérante et à l’évidence, ces dernières années, elle a apporté un souffle nouveau à la vie politique, au même titre que le Président Emmanuel Macron.
Par ailleurs, la notoriété médiatique ne lui a pas fait tourner la tête, probablement parce qu’elle a été sur le devant de la scène dès ses débuts dans la vie, embauchée par Jean-Marie Le Pen pour s’afficher avec lui à l’occasion de la campagne des élections régionales du 22 mars 1992 dans la région PACA (elle n’avait que 2 ans). Au lieu de vouloir avancer vers les chemins d’une réussite politique personnelle (elle aurait pu reprendre le FN après l’échec de sa tante), elle a préféré faire une pause, patienter, prendre du recul, capitaliser plus d’expérience dans une vie professionnelle plus ordinaire, et aussi s’occuper de son enfant.
La carrière politique de Marion Maréchal-Le Pen est déjà enviable. Née le 10 décembre 1989 à Saint-Germain-en-Laye, elle est la fille de Yann Le Pen, l’une des trois filles de Jean-Marie Le Pen et une sœur de Marine Le Pen (dont le vrai prénom est également Marion), et son père adoptif est Samuel Maréchal, un cadre du FN qui fut le directeur national du FN de la Jeunesse (entre mai 1992 et février 1999) et qui a quitté sa mère et le FN en 2007.
Au contraire de sa tante, Marion Maréchal-Le Pen fait partie de la "vraie" droite nationale, libérale en économie et souverainiste en politique. C’est pour cela qu’elle est probablement plus proche de son grand-père que de sa tante qui, avec Florian Philippot, s’était déportée vers l’extrême gauche. Son retrait de la vie politique a donc aussi une cause familiale : elle ne voulait pas sans arrêt devoir choisir entre son grand-père et sa tante.
Être de "droite", cela voulait dire pour elle qu’elle avait vu d’un bon œil l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, puis après sa déception, elle s’est finalement convaincue d’adhérer au FN en 2008. Faisant partie du "clan Le Pen", il était tout à fait logique (et prévisible) qu’elle fût candidate aux élections législatives, dans l’une des meilleures circonscriptions du FN. Une gagnable. Une des meilleures, mais pas forcément la meilleure, et il n’y a eu le 17 juin 2012 que deux députés FN élus. Son mérite personnel n’était donc pas absent dans cette élection au scrutin majoritaire, toujours très difficile pour un parti à la marge comme l’était le FN à l’époque.
Ce 17 juin 2012, Marion Maréchal-Le Pen, non seulement, a été élue députée, mais à l’âge de 22 ans, elle fut la plus jeune députée de l’histoire (dans une période encore récente, il fallait avoir au moins 23 ans pour se présenter). Rappelons que son grand-père Jean-Marie Le Pen fut aussi élu le 2 janvier 1956 le plus jeune député de France, à l’âge de 27 ans. Insistons, au-delà des âges, sur le symbole d’une telle élection.
Elle a gagné son siège dans la troisème circonscription du Vaucluse, celle-là justement où se trouve Carpentras, et pour Jean-Marie Le Pen, cela rajoutait une petite revanche après les accusations injustifiées et infondées portées par les ministres socialistes de l’époque contre son parti d’avoir été responsable de la profanation du cimetière juif de Carpentras le 9 mai 1990.
En visite à Nîmes, le Ministre de l’Intérieur Pierre Joxe s’était rendu en hélicoptère le jour même sur les lieux et avait fustigé « ceux qui expriment leur antisémitisme de façon explicite depuis des dizaines d’années (…) [qui sont] responsables, non pas des actes de Carpentras, mais de tout ce qui a été inspiré par la haine raciste ». Le hasard avait voulu que Jean-Marie Le Pen fût l’invité de la grande émission politique "L’heure de vérité" (sur Antenne 2) le soit même du 9 mai 1990, l’occasion pour lui de crier au complot sans être audible tant la stupeur était forte. De nombreuses manifestations d’indignation avaient eu lieu dans les rues de Paris avec des banderoles "Le Pen, les mots, Carpentras, les larmes". François Mitterrand avait même été présent à l’une d’elles. C’était la première fois qu’un Président de la République en exercice avait manifesté (pas la dernière fois puisque François Hollande a manifesté le 11 janvier 2015 après les attentats de "Charlie-Hebdo").
Après son élection, Marion Maréchal-Le Pen a dû conquérir sa propre crédibilité auprès de ses interlocuteurs : « Mon jeune âge a été indéniablement un handicap en termes de crédibilité. (…) Ma jeunesse a (…) été davantage un handicap que ma féminité, qui, dans le jeu politique actuel, est un atout. Nous vivons encore dans le pays de la galanterie ! Je peux dire des choses fortes qui seront plus audibles que dans la bouche d’un homme ; l’agressivité à mon égard peut être assez vite mal perçue, et cela force aussi mes adversaires politiques à aller sur le fond en évitant les postures. » ("Valeurs actuelles", le 17 mai 2017).
Sur le fait d’être femme en politique, elle est donc très clairement d’une génération nouvelle en politique : « Je n’ai jamais voulu jouer de ma féminité comme d’un handicap, je n’ai jamais été victime de misogynie, je le dis franchement, au contraire, cette féminité a été un atout. J’ai toujours trouvé cela très paradoxal que les femmes, surtout à gauche, disons-le, s’enferment dans cet élan victimaire pour pouvoir justifier certaines erreurs ou certaines carences. » (17 mai 2017).
Après le conflit entre Jean-Marie et Marine Le Pen, déclenché publiquement en avril 2015 et qui a abouti à l’exclusion du fondateur de son parti, Jean-Marie Le Pen ne pouvait plus être tête de liste aux élections régionales en PACA et ce fut Marion Maréchal-Le Pen qui le remplaça (c’était la seule candidate acceptable pour lui). Comme les Hauts-de-France avec Marine Le Pen et le Grand-Est avec Florian Philippot, la région PACA était l’une des trois rares régions à pouvoir être gagnées par le FN. Marion Maréchal-Le Pen a fait le meilleur score du FN avec 40,6% au premier tour du 6 décembre 2015 et 45,2% au second tour du 13 décembre 2015 (sa tante n’avait fait que 42,2% au second tour, le même pourcentage au premier tour). Ces élections régionales, dernières élections avant l’élection présidentielle de 2017, ont montré que Marion Maréchal-Le Pen avait une capacité à rassembler les électeurs du second tour plus grande que sa tante.
Ce qui est notable avec Marion Maréchal-Le Pen, c’est qu’elle a travaillé. Comme beaucoup de députés, elle aurait pu n’être élue que "par hasard", grâce à des circonstances locales et nationales bien précises. C’était donc sa réélection qui lui aurait vraiment permis de montrer sa valeur de parlementaire auprès de ses électeurs, car on n’est jamais réélu par hasard.
Elle aurait été sans doute réélue. Marion Maréchal-Le Pen, peut-être parce qu’elle était très jeune, ne s’est pas endormie sur son siège (un peu comme sa tante), elle a travaillé, et son mandat de cinq ans lui a été très formateur. Sur le plan de la communication politique, elle a un charisme indéniable, ajouté à un charme sur lequel il ne lui faudrait pas trop s’appuyer (car s’appuyer sur sa jeunesse ne dure que le temps de la jeunesse). Mais c’est sur le plan des idées qu’elle commence à avoir une certaine densité.
Cette densité de réflexion, tous les élus ne l’ont pas forcément acquise au cours de leur mandat. Pour s’en rendre compte, voici quelques extraits de son interview dans "Valeurs actuelles" du 17 mai 2017, interrogée par Geoffroy Lejeune, sous le titre assez évocateur : "Le testament politique de Marion Maréchal-Le Pen".
Voici par exemple sa réflexion assez profonde sur les considérations culturelles du débat politique : « L’enjeu essentiel de civilisation, à mon sens, est de savoir comment conserver, protéger, transmettre et vivifier ce ciment social. C’est là qu’intervient la question de l’école, de la transmission, de la culture, de nos traditions, de notre patrimoine, d’un certain mode de vie. Le philosophe François-Xavier Bellamy dit que l’avantage de la culture, c’est que c’est le seul bien qui se partage indéfiniment sans jamais léser personne. Si on s’attache à la transmission et à la vivification de la France, nation littéraire, nation philosophique, nation historique, à partir de là, on peut défendre ce ciment social et sauver le pays des fractures qui l’attendent. » (17 mai 2017). Je note toutefois qu’elle n’évoque pas la "nation scientifique et technologique", ce qui montre, de sa part, une omission de ce domaine où la France est parmi les leaders mondiaux et qui relève, aussi, de l’identité française.
Sa traduction en termes de stratégie politique est la suivante : « Je pense que la stratégie victorieuse réside dans l’alliance de la bourgeoisie conservatrice et des classes populaires. C’était la synergie qu’avait réussie Nicolas Sarkozy en 2007. (…) Lorsqu’on me demande à quelle droite j’appartiens, je réponds, en reprenant la classification de René Rémond, que je suis à la confluence de la droite légitimiste et de la droite bonapartiste. Mais, pour prendre une catégorie plus récente, j’appartiens à la "droite Buisson". ».
Pour l’instant, elle concède que l’alliance entre FN et LR est impossible car LR garde un matelas confortable d’électorat issu des personnes âgées : « Les choses seront peut-être différentes dans dix ans. La génération qui vient a déjà mis un bulletin FN dans l’urne, elle est complètement décomplexée, plus du tout sensible à la diabolisation, n’a pas baigné dans le rêve européen et n’a rien à perdre. Dans les dix ans qui viennent, les cartes seront totalement rebattues. ». Ce serait peut-être son horizon politique, 2027. Elle aura 37 ans.
Sur Laurent Wauquiez, devenu entre temps le président de Les Républicains : « Laurent Wauquiez est-il sincère ? (…) Est-il capable de mettre en place des alliances intéressantes ? Seul, l’avenir le dira. Ce qui est sûr, c’est que, dans le paysage politique actuel à droite, il fait partie de ceux dont les déclarations laissent penser qu’on aurait des choses à se dire et à faire ensemble, je ne vais pas dire le contraire. (…) La présence du FN contraint la droite à mener une certaine politique et à se remettre en question. La réalité, c’est que la droite a été sous la coupe psychologique de la gauche pendant des années et que le poids du FN la force aujourd’hui à se repositionner. ».
Sur Emmanuel Macron : « Je suis assez frappée par sa capacité à mettre à profit la formule du cardinal de Rezt, "on ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment". Il l’a théorisée, intellectualisée, et surfe sur une ambiguïté générale. Macron est l’incarnation de ce concept, c’est assez fort. Il est progressiste, mais j’ai envie de lui répondre par Orwell : "Quand on me présente quelque chose comme un progrès, je me demande avant tout s’il nous rend plus humains ou moins humains". ».
Cette réflexion sur Emmanuel Macron me fait écrire le commentaire suivant. Qu’un candidat soit élu sur un malentendu, c’est souvent le cas, comme dans l’amour, on peut s’aimer sur un malentendu. L’ambiguïté est intégrée dans l’action politique elle-même. Lorsque Marion Maréchal-Le Pen veut faire la synthèse entre la bourgeoisie conservatrice et les classes populaires, elle se met elle-même dans l’ambiguïté. C’est réussir cette synthèse qui est un élément de performance pour un candidat. Hélas, cette synthèse ne semble fonctionner qu’au seul moment de l’élection (comme pour Nicolas Sarkozy mais aussi François Hollande et son ennemi, la finance internationale, et on peut évidemment remonter à Jacques Chirac, pourfendeur de la fracture sociale, et à François Mitterrand, avec sa fameuse force tranquille), et pas dans l’exercice du pouvoir. Emmanuel Macron cherche à rester dans la synthèse après son élection. En outre, Emmanuel Macron n’est pas dans l’ambiguïté lorsqu’il demande une refondation de l’Europe ou lorsqu’il réforme le marché du travail. Ses convictions sont loin d’être "tièdes" et c’est pour cela d’ailleurs qu’il suscite des mécontentements, voire de la colère.
Sur les journalistes en général, Marion Maréchal-Le Pen est très sévère et ce qu’elle dit est fondé : « J’ai assez peu d’estime pour la profession, où je n’ai trouvé presque aucune culture historique, politique, où j’ai entendu du slogan et des éléments de langage, où beaucoup reprennent la dépêche AFP du matin, recopient ce qu’a écrit le collègue. (…) J’ai vu un vrai manque de travail et une vraie paresse intellectuelle, et, très rarement, j’ai rencontré des journalistes pertinents dans leur approche, originaux. Dans certaines émissions, l’invité a parfois même moins d’importance que le journaliste qui est devenu le propre objet de l’émission. ».
Avec un début d’explication sur ce tableau désastreux du journalisme : « Cet univers est le reflet du fonctionnement actuel de la société. J’avais lu une analyse scientifique expliquant que le fonctionnement cérébral des générations qui viennent était radicalement différent de celui de la génération de nos grands-parents. Les connexions neuronales se façonnent en fonction des stimuli extérieurs et de notre environnement : nos grands-parents, qui étaient soumis à moins d’informations, développaient leur mémoire et leur concentration, et ont beaucoup de mal avec la saturation de l’information et le zapping. La génération qui vient, elle, a une capacité à passer très vite d’une information à une autre, mais de moins en moins de capacité de concentration et de mémoire. Cela pose un vrai problème de société : au lieu de contrer ce phénomène général, l’école l’accompagne, au lieu d’être un sanctuaire qui force le cerveau à développer ses capacités, elle s’aligne et baisse le niveau d’exigence. Et les médias s’adaptent à cela, au temps de cerveau disponible. Cela pose également un problème démocratique : on ne peut pas être un citoyen éclairé si on n’a pas un minimum de mémoire, de capacité d’analyse et de concentration. » ("Valeurs actuelles", le 17 mai 2017).
Ces extraits montrent que l’ancienne députée mène des réflexions personnelles qui, forcément, auront un jour leur traduction politique. On peut raisonnablement penser que cette traduction se fera hors de l’appareil actuel du Front national, trop étriqué et trop typé et qu’elle verrait bien l’émergence, comme en Italie du reste, d’une alliance entre la droite et l’extrême droite, seule stratégie possible pour imaginer un jour atteindre le pouvoir. À l’évidence, Marion Maréchal-Le Pen serait bien mieux placée que Marine Le Pen pour mener à bien ce genre de projet politique. C’est sûr que la présence d’une jeune femme intelligente, avenante et sympathique apporte un autre attrait à ce qui reste pourtant toujours les idées de l’extrême droite française…
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