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21 septembre 2006 4 21 /09 /septembre /2006 16:44

(dépêches)



http://www.avmaroc.com/pdf/bush-ahmadinejad-dossiers-a2265-d.pdf

http://www.avmaroc.com/pdf/ahmadinejad-absent-dossiers-a2278-d.pdf

 


A l'Assemblée générale de l'ONU, l'Iran et le Proche-Orient au cœur des préoccupations

Article interactif
LEMONDE.FR | 19.09.06 | 18h31  •  Mis à jour le 20.09.06 | 11h30

Jacques Chirac : "Aidons peuples et dirigeants à avoir à nouveau l'audace de la paix !"

Jacques Chirac a réservé, mardi 19 septembre à la tribune des Nations unies, une place de premier ordre à la situation au Proche-Orient, où, a-t-il estimé, "le feu couve toujours". Le président français a expliqué que le conflit proche-oriental était la "source première de l'instabilité dans le monde", un "alibi facile à tous les terroristes" et une "menace pour la paix et la sécurité du monde".

M. Chirac a appelé à la tenue d'une conférence internationale qui "établisse par avance les garanties" que la communauté internationale est prête à apporter aux parties israélienne et palestinienne "dès qu'elles seront parvenues à un accord". "Je propose également qu'elle pose les jalons d'un nouvel avenir au Moyen-Orient, à travers un cadre régional de sécurité collective, l'intégration économique et le dialogue des cultures", a déclaré Jacques Chirac. "Ne laissons plus les extrémistes dicter leur loi !", a-t-il plaidé devant les représentants des cent quatre-vingt-douze pays membres de l'ONU. "Aidons peuples et dirigeants à avoir à nouveau l'audace de la paix !", a-t-il lancé, prenant en exemple "Sadate et Begin, Rabin et Arafat".

Quant au dossier iranien, Jacques Chirac a réaffirmé que "le dialogue devait prévaloir". "Nous avons fait à ce grand pays des offres de coopération ambitieuses, pourvu qu'il rétablisse la confiance en suspendant ses activités litigieuses" d'enrichissement d'uranium, a rappelé le président français. Mais, selon lui, "la confiance a été altérée par l'existence de programmes clandestins". Marquant sa différence avec George Bush, Jacques Chirac a précisé que "notre objectif n'est pas de remettre en cause les régimes. Il est d'assurer la sécurité dans le respect du droit international et de la souveraineté de chacun".

"DÉPASSER LES ÉGOÏSMES"

Abordant la question du Darfour, le président français a estimé qu'"un crime contre l'humanité se [préparait]" et appelé le Soudan à accepter "sans délai" une force onusienne, alors que Khartoum refuse que l'ONU prenne le relais de la force de paix de l'Union africaine, constituée de sept mille hommes, mais sous-équipée et sous-financée. "Des millions de personnes sont menacées", a-t-il lancé.

Reprenant l'un des thèmes qui lui tiennent à cœur et qui lui ont attiré ces dernières années la sympathie de nombre de pays du Sud, Jacques Chirac a appelé les pays riches à "dépasser les égoïsmes" pour mettre en place des financements innovants en faveur des pays pauvres, citant en exemple sa taxe sur les billets d'avion. "En un temps où la richesse du monde s'accroît comme jamais, le fossé qui sépare les pauvres et les riches devient insupportable", a-t-il tonné à la tribune.

Le président Chirac a également plaidé pour la création d'une organisation des Nations unies pour l'environnement – projet régulièrement avancé mais jamais mis en œuvre – afin de contrer "le lent suicide collectif de l'humanité". En conclusion de son allocution, Jacques Chirac s'est tourné vers le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, pour lui rendre un hommage appuyé. "Depuis dix ans, un homme porte haut le flambeau des Nations unies et de nos valeurs universelles", a déclaré M. Chirac de la tribune, où M. Annan présidait pour la dernière fois le débat annuel de l'Assemblée générale avant son départ, fin décembre. "Dans quelques semaines, nous choisirons un nouveau secrétaire général. D'immenses défis l'attendent. Il pourra compter sur le soutien de la France, son engagement indéfectible au service de la paix et de la justice, de la fraternité et du progrès", a-t-il conclu.

Le Monde.fr

Kofi Annan : "Le conflit au Proche-Orient n'est pas un simple conflit régional"

Premier orateur à s'exprimer à la tribune, mardi, le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, a lancé un appel à la communauté mondiale pour qu'elle mette un terme au conflit au Proche-Orient.

S'adressant aux délégations des cent quatre-vingt-douze Etats membres en ouverture du débat annuel de l'Assemblée générale, M. Annan – qui quitte son poste fin décembre après avoir passé dix ans ans à la tête de l'organisation internationale – a désigné le conflit au Proche-Orient comme le plus grand défi de sécurité du moment. "Aucun autre conflit ne contient une telle charge symbolique et émotionnelle parmi des gens parfois très éloignés du champ de bataille", a-t-il dit. "Tant que les Palestiniens vivront sous occupation, exposés à des frustrations et à des humiliations quotidiennes, et tant que des Israéliens seront déchiquetés par des bombes dans des bus ou des salles de danse, les passions resteront enflammées partout", a-t-il ajouté.

Il a averti que si le Conseil de sécurité de l'ONU ne parvient pas à mettre fin à ce conflit, qui dure depuis près de soixante ans, "en amenant les deux parties à accepter et appliquer ses résolutions", cela conduira à "un déclin du respect" de l'ONU et  à "une remise en question de son impartialité". De même, a-t-il poursuivi, "nos efforts pour résoudre d'autres conflits rencontreront des résistances, y compris en Irak et en Afghanistan, dont les peuples ont tout autant besoin de nous".

LE DARFOUR, "LE PLUS GROS DÉFI"

Rappelant qu'il aura été le deuxième secrétaire général de l'ONU originaire d'Afrique, il a tenu à rappeler à la communauté internationale ses obligations au Darfour, où se poursuit une guerre civile qui a déjà fait au moins deux cent mille morts depuis février 2003 : "Hélas, une fois de plus le plus gros défi vient d'Afrique, du Darfour où le spectacle d'hommes, de femmes et d'enfants chassés de leurs maisons par le meurtre, le viol ou l'incendie de villages rend dérisoire notre prétention, en tant que communauté internationale, à protéger des pires exactions", a-t-il déploré. M. Annan devrait se joindre à d'autres dirigeants mondiaux pour convaincre le président soudanais, Omar Al-Bachir, d'accepter le déploiement d'une force de l'ONU au Darfour.

Kofi Annan a également condamné "ceux qui veulent une guerre de religion à grande échelle" en se saisissant du concept de "choc des civilisations".

Rappelant que dans son premier discours devant l'Assemblée générale, il y a dix ans, il avait cité "une économie mondiale injuste, les désordres mondiaux et le fréquent mépris des droits de l'homme" comme les principaux défis d'alors, M. Annan a déploré que "les événements des dix dernières années n'aient pas résolu mais aiguisé ces trois grands défis". "En conséquence, a-t-il dit, nous sommes confrontés à un monde dont les divisions menacent la notion même de communauté internationale, sur laquelle cette institution repose."

Estimant que les relations internationales "ne sont pas l'apanage des Etats" , mais sont aussi l'affaire "des peuples" et des "acteurs non étatiques", Kofi Annan a affirmé que "tous doivent jouer un rôle dans un véritable ordre mondial multilatéral, avec une ONU dynamique et renouvelée en son centre". Il a souligné que sa récente tournée au Proche-Orient, pour consolider l'application de la résolution 1701 ayant mis fin à la guerre au Liban, lui a rappelé "combien l'ONU peut être forte, quand tout le monde souhaite son succès".

Qualifiant son poste de "métier le plus exaltant du monde", M. Annan a ainsi conclu : "Je cède ma place à d'autres avec un sentiment obstiné d'espoir dans notre avenir commun." Il a alors été salué par une ovation de toute l'Assemblée.

Le Monde.fr

George Bush : "Nous respectons l'islam"

Très attendu sur le dossier iranien, le président américain George W. Bush a évoqué, mardi dans son discours à l'Assemblée générale de l'ONU, la situation tendue entre Washington et Téhéran. Il a accusé Mahmoud Ahmadinejad d'être le "principal obstacle" à un avenir meilleur pour l'Iran. "Le principal obstacle entre vous et cet avenir, c'est que vos dirigeants ont décidé de vous dénier votre liberté et d'utiliser les ressources du pays pour financer le terrorisme, alimenter l'extrémisme et se doter d'armes nucléaires", a-t-il déclaré dans un discours en forme d'adresse au peuple iranien.

M. Bush a affirmé que l'Iran devait renoncer à produire l'arme nucléaire, mais assuré que les Etats-Unis cherchaient une solution diplomatique à la crise. "Malgré ce que le régime vous dit, nous n'avons aucune objection à la poursuite par l'Iran d'un programme nucléaire réellement pacifique", a-t-il assuré. Le président américain a aussi dit son "respect" et son "admiration" pour le peuple iranien, offrant la perspective que l'Iran et les Etats-Unis soient un jour de "bons amis et des partenaires proches". "Vous méritez d'avoir la chance de décider de votre propre avenir, d'avoir une économie qui récompense votre intelligence et vos talents et une société qui vous permette d'utiliser votre énorme potentiel", a-t-il dit.

"MON PAYS VEUT LA PAIX"

Dans son allocution – qui a légèrement dépassé le quart d'heure autorisé –, le président américain s'est ensuite adressé directement aux musulmans du monde entier, les assurant que les Etats-Unis ne cherchent pas la guerre avec l'islam : "Mon pays veut la paix", a-t-il lancé, accusant "les extrémistes qui veulent faire croire que l'Occident est engagé dans une guerre avec l'islam pour justifier leurs actes de terreur". "Nous respectons l'islam", a-t-il conclu.

C'est ensuite spécifiquement aux Irakiens que le président Bush s'est adressé : "Nous ne vous abandonnerons pas dans votre combat pour la construction d'une nation libre", a-t-il assuré.

George Bush a aussi affirmé que l'ONU devrait "agir" si le gouvernement du Soudan n'acceptait pas rapidement le déploiement d'une force des Nations unies pour faire cesser ce qu'il a qualifié de "génocide" au Darfour. Il a estimé que la crédibilité de l'ONU était en jeu sur cette question, et invité les dirigeants du monde entier à agir rapidement pour qu'y soit déployée une force de casques bleus. M. Bush a également annoncé qu'il avait mandaté Andrew Natsios, ancien directeur de l'Agence américaine pour le développement international, comme émissaire spécial des Etats-Unis pour tenter de mettre fin aux violences qui ensanglantent la province soudanaise du Darfour.

Le Monde.fr

Mahmoud Ahmadinejad : "Le Conseil de sécurité n'assure que le droit des grandes puissances"

Mahmoud Ahmadinejad a vivement répondu, mardi 19 septembre, à George W. Bush, qui avait précédemment accusé son régime d'être le "principal obstacle" à la prospérité et à la liberté de la population de son pays, lançant un virulent réquisitoire contre la politique des "prétendus champions de la démocratie" au Proche-Orient.

Le président iranien a consacré une large partie de son temps à la tribune à pourfendre l'action américaine en Irak, où Washington est "incapable d'établir la sécurité", ou au Liban, où les Etats-Unis n'ont "pas appelé à un cessez-le-feu" après l'offensive israélienne contre le Hezbollah.

Il a réclamé une réforme du Conseil de sécurité en demandant que des organisations comme le Mouvement des non-alignés ou l'Organisation de la conférence islamique, où Téhéran compte des alliés, disposent d'un droit de veto. "Apparemment, le Conseil de sécurité ne peut être utilisé que pour assurer la sécurité et les droits de certaines grandes puissances", a-t-il dit.

Dans ce discours comprenant de nombreuses références religieuses, le président iranien a également critiqué les "prétendus champions de la démocratie" pour avoir refusé de reconnaître le "gouvernement démocratiquement formé" par les Palestiniens après des élections qui avaient vu la victoire du Hamas. M. Ahmadinejad s'en est aussi violemment pris à Israël, l'accusant d'être une source "de menace et d'insécurité" au Proche-Orient. L'Etat hébreu, a-t-il dit, a été créé sur "la terre de la Palestine" après la seconde guerre mondiale "sous le prétexte de protéger certains de ses survivants", sans mentionner le génocide des juifs qu'il a, par le passé, nié.

"NOS ACTIVITÉS NUCLÉAIRES SONT TRANSPARENTES"

M. Ahmadinejad a une nouvelle fois promis que son pays ne chercherait pas à se doter de la bombe. "Toutes nos activités nucléaires sont transparentes, pacifiques et sous l'œil attentif des inspecteurs de l'AIEA", l'Agence internationale de l'énergie atomique, a-t-il assuré. Le président iranien a fustigé le "triste bilan" de ceux qui ont déjà utilisé l'arme atomique, une allusion directe aux Etats-Unis, qu'il a aussi accusés de manipuler le Conseil de sécurité de l'ONU à leur profit. Le dossier du nucléaire iranien était examiné dans la soirée de mardi par les ministres des affaires étrangères des six puissances engagées dans la recherche d'une solution (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne, Allemagne), plus l'Italie.

Avec AFP


Le nucléaire iranien et le processus de paix israélo-palestinien au cœur des débats de l'ONU

Article publié le 19 Septembre 2006
Source : LE MONDE.FR avec AFP et Reuters
Taille de l'article : 714 mots

Extrait :
Le programme nucléaire iranien devait être au centre des premiers débats de la 61e Assemblée générale de l'ONU, mardi 19 septembre, à New York, avec des discours du président américain, George W. Bush, et de son homologue et adversaire iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Le président français, Jacques Chirac, a appelé, lundi 18 septembre, les grandes puissances à renoncer à saisir le Conseil de sécurité pour imposer des sanctions contre Téhéran. Il doit intervenir en milieu de journée, peu après M. Bush et avant le président iranien. Les débats seront ouverts par le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, qui doit quitter ses fonctions à la fin de l'année après dix ans à la tête de l'institution mondiale.


ONU: le duel Bush-Ahmadinejad

Dernière mise à jour : 20 septembre 2006 à 10:40

Les présidents américain George W. Bush et iranien Mahmoud Ahmadinejad se sont vivement opposés mardi à l'ONU, dans deux discours séparés, sur fond de crise sur le programme nucléaire iranien.

G.W. Bush a accusé le régime iranien d'être le "principal obstacle" à la prospérité et la liberté de la population de son pays, M.Ahmadinejad lui répondant par un virulent réquisitoire contre la politique des "prétendus champions de la démocratie" au Proche-Orient.

Les deux hommes ont pris soin de s'éviter à New York, mais ces interventions le même jour devant la 61e Assemblée générale de l'ONU ont donné un relief particulier à leurs attaques réciproques.

Régime iranien visé
S'adressant au peuple iranien, le président américain a déclaré que "le principal obstacle entre vous" et un avenir meilleur, c'est que "vos dirigeants ont décidé de vous dénier votre liberté et d'utiliser les ressources du pays pour financer le terrorisme, alimenter l'extrémisme et se doter d'armes nucléaires".

Les deux dirigeants ont toutefois donné peu d'indications sur la manière de dénouer la crise sur le programme nucléaire iranien. George W. Bush, qui a toujours refusé d'écarter le recours à la force militaire pour empêcher l'Iran de produire l'arme atomique, a cependant affirmé sa volonté de trouver une issue diplomatique.

La réplique d'Ahmadinejad
Mahmoud Ahmadinejad a une nouvelle fois promis que son pays ne cherchait pas à se doter de la bombe. "Toutes nos activités nucléaires sont transparentes, pacifiques et sous l'oeil attentif des inspecteurs de l'AIEA", l'Agence internationale de l'énergie atomique, a-t-il assuré.

Le président iranien a fustigé le "triste bilan" de ceux qui ont déjà utilisé l'arme atomique, une allusion directe aux Etats-Unis, qu'il a aussi accusés de manipuler le Conseil de sécurité de l'ONU à leur profit.

M. Ahmadinejad a consacré une large partie de son temps à la tribune à pourfendre l'action américaine en Irak, où Washington est "incapable d'établir la sécurité" ou au Liban, où les Etats-Unis n'ont "pas appelé à un cessez-le-feu" après l'offensive israélienne contre le Hezbollah.


ONU: le duel Bush-Ahmadinejad
 
Dernière mise à jour: mercredi, 20 septembre 2006 à 08:10

M.Ahmadinejad a fustigé le "triste bilan" des Etats-Unis  
Les présidents américain George W. Bush et iranien Mahmoud Ahmadinejad se sont vivement opposés mardi à l'ONU, dans deux discours séparés, sur fond de crise sur le programme nucléaire iranien.

G.W. Bush a accusé le régime iranien d'être le "principal obstacle" à la prospérité et la liberté de la population de son pays, M.Ahmadinejad lui répondant par un virulent réquisitoire contre la politique des "prétendus champions de la démocratie" au Proche-Orient.

Les deux hommes ont pris soin de s'éviter à New York, mais ces interventions le même jour devant la 61e Assemblée générale de l'ONU ont donné un relief particulier à leurs attaques réciproques.

Régime iranien visé
S'adressant au peuple iranien, le président américain a déclaré que "le principal obstacle entre vous" et un avenir meilleur, c'est que "vos dirigeants ont décidé de vous dénier votre liberté et d'utiliser les ressources du pays pour financer le terrorisme, alimenter l'extrémisme et se doter d'armes nucléaires".

Les deux dirigeants ont toutefois donné peu d'indications sur la manière de dénouer la crise sur le programme nucléaire iranien. George W. Bush, qui a toujours refusé d'écarter le recours à la force militaire pour empêcher l'Iran de produire l'arme atomique, a cependant affirmé sa volonté de trouver une issue diplomatique.

La réplique d'Ahmadinejad
Mahmoud Ahmadinejad a une nouvelle fois promis que son pays ne cherchait pas à se doter de la bombe. "Toutes nos activités nucléaires sont transparentes, pacifiques et sous l'oeil attentif des inspecteurs de l'AIEA", l'Agence internationale de l'énergie atomique, a-t-il assuré.

Le président iranien a fustigé le "triste bilan" de ceux qui ont déjà utilisé l'arme atomique, une allusion directe aux Etats-Unis, qu'il a aussi accusés de manipuler le Conseil de sécurité de l'ONU à leur profit.

M. Ahmadinejad a consacré une large partie de son temps à la tribune à pourfendre l'action américaine en Irak, où Washington est "incapable d'établir la sécurité" ou au Liban, où les Etats-Unis n'ont "pas appelé à un cessez-le-feu" après l'offensive israélienne contre le Hezbollah.




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