« Nous savons bien que, quels que soient les efforts du savoir, jamais nous ne saisirons ni l’origine ni le but du chaos sensible dans lequel nous vivons. Que l’on découpe pour en faire de fines tranches les cerveaux des babouins que nous sommes ou l’infime instant du Grand Début, "un chant se lève en nous qui n’a connu sa source et qui n’aura d’estuaire dans la mort… et la semence de Dieu s’en va rejoindre en mer les nappes mauves du plancton". » (Paris, le 22 juin 1989).
Il est mort il y a vingt ans, le 25 juin 1997 à l’âge de 87 ans (il est né le 11 juin 1910). Il aurait pu être amiral comme Philippe De Gaulle ou François Darlan. Il aurait pu être un universitaire chevronné, professeur au Collège de France. Il aurait pu être député, voire ministre, voire… Il a été quand même membre de l’Académie française, élu le 24 novembre 1988 au fauteuil de Bougainville, Pasteur, Littré …et Orsenna (Maurice Druon le 15 juin 1989 : « Le 5 juin dernier, vous entriez à l’Académie du Royaume du Maroc pour y occuper le siège d’Edgar Faure. Aujourd’hui même, vous avez été installé à l’Académie française où vous succédez à Jean Delay. »). Il fut aussi récompensé par la Palme d’or du Festival de Cannes et un Oscar du meilleur film documentaire pour "Le monde du silence" (1956).
Une sorte de Jules Verne option pratiquant, comme Paul-Émile Victor, Haroun Tazieff, les époux Krafft, etc. Le commandant Jacques-Yves Cousteau était d’abord un militaire, un marin qui voulait être pilote dans l’aéronautique navale qu’un accident de la route a empêché d’aller jusqu’au bout, puis un océanographe et surtout, un passionné des profondeurs et son objectif était avant tout d’émerveiller le grand public pour les fonds marins. Il refusait toute prétention, n’était ni chercheur ni enseignant mais simple vulgarisateur, tout en étant un inventeur (il a déposé plusieurs brevets), un homme d’affaires (pour financer ses expéditions) et un administrateur (il fut le directeur du Musée océanographique de Monaco de 1957 à 1988 et aussi secrétaire général de la Commission internationale pour l’exploitation scientifique de la Méditerranée de 1962 à 1988, intégré dans de nombreuses institutions internationales).
La petite donnée supplémentaire, c’est qu’il a été l’un des Français les plus aimés de France (avec l’abbé Pierre), et même du monde, l’un des Français les plus connus dans le monde, bénéficiant même d’une couverture du fameux journal "Time".
Cet article d’hommage à Cousteau n’en est pas un, je me retranche ici derrière quelques citations éloquentes prononcées principalement sous la Coupole par quelques académiciens fameux pour évoquer quelques traits de cet aventurier passionné par le Grand Bleu, sauf à la fin où j’évoque un film sur sa vie.
Pasteur, son prédécesseur à son fauteuil de l’Académie, Cousteau l’avait décrit lors du centenaire de la mort comme le représentant suprême du don de soi : « Pasteur, extrait de son environnement et de son époque, prend dans la perspective de l’avenir des places qu’il ne pouvait pas imaginer : comme symbole de notre révolte contre la nature ; comme exemple d’association des deux modes de pensée, l’esprit de géométrie et l’esprit de finesse ; comme opposant à la notion de profit quand il s’agit de résultats scientifiques destinés à protéger la santé publique. ». Alors, Cousteau, rouge d’idée politique ? ou juste "bonnet rouge" ?
Bertrand Poirot-Delpech, qui avait reçu Cousteau à l’Académie française, lui proposa même la transformation de la Coupole : « Il aurait fallu que notre Coupole (…) fût remplie d’eau de mer, jusqu’aux voûtes. Rêvons, voulez-vous ? La quille brune de votre chère Calypso s’apercevrait, là-haut, à l’envers. Les amis qui vous font face ouvriraient des yeux ronds de poissons à l’affût. Les chapeaux roses (…) feraient office de coraux, d’anémones. Balancés par le courant, nos costumes auraient perdu leurs variétés de vert pour ne former qu’un herbier bleuâtre où se fondraient nos plus rouges rubans, puisque les profondeurs marines, vous nous l’avez révélé, changent en bleu nuit toutes choses, jusqu’au sang. En guise de tambours, on aurait entendu des éclaboussements de plongeons. Et vous seriez apparu dans une gerbe de bulles cristallines, suivi des caméras qui vous perdent rarement de vue. Bouteilles sur le dos, votre illustre œil d’azur collé au masque, vous nous auriez dévisagés comme on vous l’a vu faire tant de fois dans vos films, flairant en nous, qui sait ? quelque mérou… Et vous auriez plané vers votre place, dans un élégant battement de palmes, oserai-je dire, académiques… Figurez-vous que cette vision surréaliste je ne l’ai pas inventée, mais rêvée, peu après votre élection, en traversant l’Atlantique à la voile. » (22 juin 1989).
Écrivain passionné par la mer, Bertrand Poirot-Delpech n’a pas eu beaucoup de mal pour décrire son héros du jour : « Il était une fois… la plage de Bandol, un beau jour de juin 1943. Un officier de marine de 33 ans, tout en nez et en os, crache dans son masque de plongée pour en chasser la buée, geste qui deviendra aussi rituel que le signe de croix du torero à l’entrée de l’arène. Il endosse les trente kilos de matériel livrés le matin même par un ami ingénieur à l’Air Liquide ; et, après quelques enjambées pataudes, dignes du premier marcheur sur la Lune, il disparaît sous l’eau pour de longues minutes, y retrouvant la liberté des danseurs, la grâce de l’oiseau. Le scaphandre Cousteau-Gagnan est né ! Et avec lui commence la conquête visuelle de la troisième dimension des mers. ». Il faut ajouter que Jacques-Yves Cousteau a eu l’occasion de rencontrer Neil Armstrong, justement ce premier marcheur sur la Lune, au Maroc.
Ce même auteur a révélé l’origine de la vocation de Cousteau : « Avant vos records de nageur universitaire (cent mètres en une minute quatorze, ce qui n’était pas si mal pour l’époque !), tout aurait commencé par une punition en colonie de vacances, aux États-Unis, dans les années vingt. Pour avoir boudé les séances d’équitation, vous fûtes condamné par un moniteur à nettoyer un étang, et le spectacle des branches mortes sous l’eau glauque aurait décidé d’une fascination qui n’allait pas se démentir durant soixante-dix ans. ».
Le besoin couplé à l’inventivité d’un proche : « Fortuits, toujours, les effets de la guerre : l’équipement des automobiles au gaz de ville, qui donnera à Gagnan l’idée du détendeur pour scaphandre ; l’essor de techniques et de matériaux utiles à la plongée, bakélite, caoutchouc, nouvelles émulsions photographiques ; l’invasion allemande de la zone sud qui empêchera votre nomination à Lisbonne et vous conduira à faire de la plongée autour de Toulon occupé, la couverture de votre espionnage au profit de Londres. Hasard toujours qu’un mécène (…) vous fasse cadeau, en 1950, d’un transbordeur (…)… la Calypso. ».
Comment parler de Cousteau sans parler de sa nymphe Calypso ? La rencontre avec la Calypso, le successeur de Cousteau à son fauteuil d’académicien, Érik Orsenna, l’a racontée le 17 juin 1999 : « Dans le port de La Valette [île de Malte], sous la citadelle des chevaliers de Saint-Jean, une sorte d’épave attend. Elle a connu des heures de gloire en draguant des mines. La paix revenue, elle somnole au soleil, seulement visitée par des colonies d’anatifes. Un officier français passe sur le quai : c’est un marin sans bâtiment. À peine a-t-il aperçu la coque délaissée qu’il la choisit. Pour toujours. Telles sont les rencontres entre un homme et son navire. Cela tiens au coup de foudre. Au premier regard, on a reconnu son inséparable. Sitôt remise à neuf (…), la Calypso prend le large. "Quel est le but de notre voyage ?" demande-t-elle, après quelques miles de silence. "Le fond de la mer", répond le commandant. ».
La Calypso appartenait initialement à la Royal Navy (entre le 21 mars 1942 et 1947) avant d’être reconvertie en ferry pour la liaison entre Malte et l’île de Gozo (associée, selon le poète grec Callimaque de Cyrène, à Ogygie, l’île mythique dont fut reine la nymphe Calypso, d’où le nom du navire adopté en 1947). Rachetée en 1950 par le milliardaire Thomas Loel Guinness, le mécène de Cousteau, la Calypso fut louée au franc symbolique chaque année pour les expéditions de l’océanographe du 24 novembre 1951 à son naufrage le 8 janvier 1996 à Singapour. La remise en état du bateau n’a commencé qu’en avril 2016 en Turquie, après bien des vicissitudes juridiques et financières.
Érik Orsenna résuma ainsi l’activité si expérimentée de Cousteau : « Filmer et plonger : depuis l’âge de 13 ans, Cousteau n’a jamais rien voulu d’autre. La consécration venue, pourquoi cesserait-il ? D’autant qu’une bête énorme a pris possession du monde, une insatiable dévoreuse d’images fraîches : la télévision. La bête a ses exigences. Les images dont elle fait ses repas doivent lui être servies pimentées par une histoire. Le seul plaisir de découvrir la fait bâiller. La bête veut du spectacle. Cousteau va lui en fournir. Pour la nourrir et se nourrir lui-même. Il va scénariser l’univers, créer des personnages, bâtir des sortes d’intrigues, offrir du vrai suspens. Le résultat dépasse les espérances. Le feuilleton de la nature l’emporte en audience sur la plupart des "Dallas" et autres "Dynasty". Les petits et les grands (…) de tous continents se rivent à la vitre dès que paraît la Calypso. De semaines en semaines, la planète se révèle à ses habitants. Le gros bocal si souvent imbécile (…) s’est changé en hublot. » (17 juin 1999).
Cela a donné des centaines de films, certaines œuvres connues mondialement : « Comment assouvir l’appétit de l’ogre [appelé télévision] ? La Calypso change de rythme. La promenade émerveillée se transforme en course. Il faut produire, produire toujours plus. Quatre films par an, minimum, et jusqu’à sept en 1989. Plus de cent en trente années. Le résultat s’impose : de l’Amazonie au Cap Horn, du Nil à Tahiti, de l’hippopotame à la loutre de mer, le commandant nous a donné de notre Terre le plus riche des portraits. Mais cette exploration à marches ou plongées forcées ne va pas sans péril. Celui du sensationnel à tout prix, ou de l’emporte-pièce. Or il faut au mentir vrai des flâneries que la finance ne connaît pas. Le besoin d’argent engendre la hâte, qui n’est pas bonne pour l’œil. À feuilleter ce fabuleux album, on peut se prendre à regretter le regard de Louis Malle et l’ambition du cinéma, c’est-à-dire sa durée, le temps qu’il réclame et prend. La nature est lente, la vérité aussi. » (Érik Orsenna).
Cousteau était aussi un expert en communication : « Après avoir fait au commandant le cadeau empoisonné de la vitesse, la télévision lui offre la célébrité. Autre piège de l’époque, autre risque de quitter sa liberté pour s’emprisonner dans un personnage. Il aurait pu rester dans l’ombre, il choisit d’apparaître. (…) Vient [alors] la trouvaille qui hisse le commandant au sommet de l’art le plus moderne qui soit, l’essence même de notre temps, la communication. Quelques mailles de laine, pour saluer notre tradition d’agriculture et d’élevage. Une forme lâche et molle pour signifier, à l’inverse des képis dominateurs, la douceur du projet, sa fraternelle bienveillance envers l’humanité tout entière. Une couleur puissante qui se voit de loin et n’inquiète plus personne maintenant que le communisme est défait. Vous l’avez reconnu, le bonnet rouge est né ! À ce panache débonnaire et flamboyant, les humains de bonne volonté vont tous se rallier. D’autant qu’au bonnet s’est ajoutée une appellation, qui plus est libellée dans la langue dominante : Captain Planet ! » (Érik Orsenna).
Bertrand Poirot-Delpech avait aussi décrit le grand communicant : « Professionnel du spectacle, vous l’êtes enfin quand, interprète de votre propre rôle, vous vous pliez aux corvées du vedettariat, sans complaisance ni illusion. C’est que le dur métier de plaire, comme on dit au théâtre, exige une escalade indéfinie de moyens et de sensations. Plus rien ne nous étonne, depuis le temps que vous nous surprenez ! Dernièrement, vous avez filmé deux exclusivités qui feront l’ébahissement des grands et des petits, à la rentrée, et dont j’assure ici la bande-annonce : un éléphant nageant avec sa trompe en surface en guise de respirateur et un requin blanc avalant… la caméra qui le filmait. Comment couper encore le souffle, après cela ? Cette nécessité de récolter de l’image vendable, en plus des renseignements scientifiques, l’équipe de la Calypso s’y plie avec entrain. C’est un régal de voir autour de vous ces plongeurs soudés par leur commune passion du fond et par leurs spécialités complémentaires, biologie, médecine, archéologie, cadrage ou prise de son. Tous partagent votre sens du jeu avec l’imprévu. » (22 juin 1989).
Insistant sur l’indépendance financière de Cousteau, Bertrand Poirot-Delpech a constaté par ailleurs : « Cela mérite d’être répété bien haut : en ces temps d’assistance généralisée, malgré votre utilité et un renom qui auraient fait de vous un budgétivore très présentable, vous n’avez, Monsieur, jamais encaissé le moindre centime d’argent public ! Admirons cette hérésie : vous n’acceptez les contribuables que bénévoles ! Les trois cent cinquante mille cotisants des Fondations, dont trois quarts aux États-Unis, paient les deux tiers de vos dépenses ; et deux cent cinquante millions d’humains vous apportent indirectement le reste, en regardant chacun de vos films, vous évitant l’autre humiliation que ce serait, ayant échappé à la mendicité publique, de souiller la Calypso, comme on le voit pour tant d’engins sportifs, avec des réclames autocollantes de carburant ou de saucisses. » (22 juin 1989). Il faut noter que si Cousteau recherchait beaucoup d’argent, il ne se le mettait pas dans la poche (il s’en moquait pour lui), c’était principalement pour payer les salaires et le matériel de ses expéditions.
Au-delà de cet aspect business, Cousteau a beaucoup œuvré pour la préservation des fonds marins et de l’environnement en général. Il avait notamment eu une action déterminante pour préserver la virginité l’Antarctique au début des années 1990, alors qu’une trentaine de pays s’étaient mis d’accord pour en exploiter le sous-sol.
La grande popularité de Jacques-Yves Cousteau n’a pas empêché des controverses à son égard. Il avait admis humblement s’être mal comporté au début de ses explorations en massacrant des requins (par exemple) mais avait vite compris que la détérioration de la faune et de la flore marines provenant de l’action humaine devait être stoppée rapidement et il a évolué vers un écologisme qui ne se voulait pas politisé (considérant que l’écologie ne devait pas être réservée à un seul parti mais devait être une exigence universelle au même titre que la justice, l’égalité, la liberté).
À la fin de sa vie, il avait évolué vers un certaine misanthropie, considérant qu’il y avait sur Terre une surpopulation humaine que la planète ne pouvait plus supporter (un thème qu’on retrouve chez d’autres personnalités célèbres à la fin de leur vie et qui ne se base que sur des impressions, car les seuils ont éclaté entre certaines déclarations : le seuil de 2 milliards d’êtres humains avait fait frémir certains intellectuels dans les années 1950, beaucoup plus que le seuil très récent des 7 milliards).
S’exprimant sur Pasteur, le 20 juin 1995, Cousteau avait notamment déclaré : « Cette explosion démographique est due au fait que notre nouvel ensemble de valeurs anti-naturelles : la générosité, la solidarité, la fierté d’avoir su vaincre par la médecine les maux traditionnels, a été appliqué avec enthousiasme longtemps avant que nous ayons développé leur contrepartie logique, le contrôle des naissances. Notre incapacité à synchroniser ces deux éléments montre que nous avons mis très longtemps à comprendre que notre nouvelle voie révolutionnaire, qui remplaçait les règles naturelles impitoyables par nos propres idéaux d’égalité, de fraternité, de justice, impliquait de nouveaux devoirs et de nouveaux périls. Nous ne nous sommes pas encore pleinement rendu compte que notre récent divorce d’avec la Nature était irréversible. Nos ancêtres ont brûlé les ponts, et le retour à la nature n’est pas possible. Cela impose à l’homme moderne une charge écrasante : il lui faut partir de zéro pour inventer un comportement qui soit à la fois biologiquement acceptable et à la hauteur de ses ambitions morales. ».
Cette misanthropie est mise en lumière par un film qui a cherché à mieux comprendre les relations père/fils de Cousteau qui était un époux et un père certainement critiquable. Ce film, envisagé depuis longtemps, a été réalisé par Jérôme Salle et est sorti le 12 octobre 2016. Jérôme Salle a expliqué ses motivations : « C’était incroyable car pour les gens de ma génération [il a 46 ans], le commandant Cousteau, c’était un peu Jésus-Christ, l’un des hommes les plus connus au monde. (…) En discutant autour de moi, j’ai réalisé qu’il était en train de tomber complètement dans l’oubli pour les moins de 20 ans, voire les moins de 30 ans. (…) [Cousteau] maîtrisait parfaitement sa communication en se filmant avec son équipage mais sans jamais rien révéler de son intimité. ». Le film a fait 1,2 million d’entrées en France.
Celui qui fut choisi pour prendre le rôle de Jacques-Yves Cousteau fut Lambert Wilson, et lui aussi, comme Philippe Cousteau, a connu des relations orageuses avec son père célèbre. Pour ce film, il a dû essayer de comprendre la personnalité de Cousteau : « Il devient l’homo ecologicus qui part avec son bâton de pèlerin convaincre le maximum de gens de la nécessité de protéger la biodiversité. (…) Cousteau se souciait de l’avenir de l’humanité parce qu’il avait observé les dangers qui menaçaient la planète, mais il n’était jamais plus heureux qu’au cœur de la tempête. » ("Le Temps", le 13 octobre 2016).
Et je conclurai avec cette remarque de l’homme faillible, héros mais faillible, selon Lambert Wilson : « Cela a été une surprise de découvrir ses parts d’ombre. Quand on voit Cousteau, on n’imagine pas immédiatement qu’il ait pu être un séducteur invétéré. Ce qu’il était. Ensuite, je ne pensais pas qu’il avait tant lutté, toute sa vie, pour chercher de l’argent. Cette quête permanente m’a surpris. (…) J’avais beaucoup de tendresse et d’admiration pour Cousteau, parce que je pense au fond que c’est un homme bon, mais que simplement, comme tous les gens possédés par une quête, les artistes, les scientifiques, les politiques, il ne pouvait pas être au four et au moulin. Il devait satisfaire sa propre pulsion, qui était celle de la découverte. Ce n’était pas un homme mauvais ou un pervers, il avait des faiblesses très humaines. ».
Aussi sur le blog.
Sylvain Rakotoarison (23 juin 2017)
http://www.rakotoarison.eu
Pour aller plus loin :
Jacques-Yves Cousteau.
L’abbé Pierre.
Jean-François Deniau et la mer.
http://rakotoarison.over-blog.com/article-sr-20170625-jacques-yves-cousteau.html
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/voyages/article/l-emerveillement-du-commandant-194389
http://rakotoarison.canalblog.com/archives/2017/06/23/35410335.html
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